L'auteure compare son jeu aux Persona, avec sa vie de lycée, des relations optionnelles et ses invocations puissantes, mais sortis du gameplay, on peine à voir la parenté tant cette parodie goremanque du sex appeal et du punch qui fait le sel des productions Atlus… Loin du raffinement de Kazuma Kaneko ou Shigenori Soejima, le style graphique louche plutôt du côté d'Usumaru Furuya.
Le scénario : une jeune ingénue se retrouve embringuée dans une histoire de fight club MMORPG qui aurait coûté la vie à son grand frère… Ça vous rappelle quelque chose ? Beaucoup de choses ? Quelles différences entre Freak+Quency et Dramatical Murder, le jeu BL de Nitro+Chiral, par exemple ? Eh bien Freak+Quency trouve le moyen d'être encore plus marabout-de-ficelle, encore plus incohérent, et donc, il faut l'avouer, souvent plus drôle.